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Baya

A quelques jours de la troisième étape du déconfinement établi par le gouvernement, le ministère du Travail vient de publier le nouveau protocole à respecter en entreprise. Un document dans lequel des sujets tels que le télétravail, la distanciation physique entre les salariés ou encore la jauge dans les restaurants d’entreprise sont abordés.

C’est un document que beaucoup d’entreprises attendaient avec impatience. Dans le cadre du plan de déconfinement, le ministère du Travail a publié le 2 juin le nouveau protocole sanitaire en entreprise à appliquer dès le 9 juin. A cette date, comme indiqué par le chef de l’Etat Emmanuel Macron lors de son entretien à la presse régionale le 30 avril dernier, les règles liées au télétravail seront assouplies. Fini le 100% travail à distance, ainsi que la règle d’un jour sur site autorisé pour les salariés qui le souhaitent. Le nouveau protocole prévoit désormais de donner « carte blanche » à chaque entreprise pour établir la nouvelle jauge de jours de présence autorisés. « Les employeurs fixent dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, pour les activités qui le permettent ».

 

Source: l’argus de l’assurance

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OEil pour oeil. Aux sanctions américaines, la Russie va répondre en accélérant ses ventes de dollars et de dette d’Etat américaine, selon les déclarations du ministre des finances Anton Siluanov lors du forum économique de Saint-Pétersbourg. Le fonds souverain russe va céder ses actifs obligataires en dollars, qui représentent 35 % de ses capitaux liquides, soit 41 milliards de dollars. Ces ventes seront réalisées en fonction des conditions de marché par la banque centrale pour le compte du fonds. A terme la répartition par devise étrangère du fonds fera la part belle à l’euro (40 %) puis au yuan (30 %), à l’or (20 %), au yen (5 %) et à la livre sterling (5 %).

Le dollar perd 1 % par rapport au rouble cette année. En 2020, il avait gagné 19 % par rapport à la monnaie russe. Depuis 2020, l’euro a progressé de 26 % à 88 roubles. Le consensus des prévisions établi par Bloomberg prévoit un euro à 86 roubles en décembre. La devise russe a traversé plusieurs crises économiques ou géopolitiques comme lors de la crise ukrainienne de 2014 . La banque centrale intervient parfois pour limiter le repli et la volatilité de sa devise.

 

Source: LesEchos

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Deux néo-assureurs ont annoncé en ce premier jour de juin d’importantes levées de fonds, faisant passer leur valorisation au-delà des deux milliards de dollars.

Jour faste pour l’écosystème assurtech en ce premier juin, puisque ce ne sont pas une mais bien deux importantes annonces qui ont été officialisées.

Premier détour outre-Manche avec l’annonce d’un tour de financement de série D de 350 millions de dollars (286 millions d’euros) pour Bought By Many, portant son financement total à 500 millions de dollars (409 millions d’euros) : sa valorisation dépasse ainsi les deux milliards de dollars.

L’assurance des animaux de compagnie, une niche porteuse

Cette levée a été menée par le fonds EQT Growth, en lien avec Octopus Ventures et Munich Re Ventures. Elle fait son entrée sur le podium des assurtech européennes les mieux financées, aux côtés du britannique Ki Insurance (soutenu par le Lloyd’s) et de l’allemand WeFox.

Bought By Many est un spécialiste de l’assurance des animaux de compagnie, marché bien plus dynamique outre-Manche qu’en France (25% d’équipement au Royaume-Uni, contre environ 7% dans l’Hexagone) et que la jeune pousse a bouleversé depuis son lancement en 2017 (cinq ans après sa création), soutenue alors par la compagnie Great Lakes Insurance… composante de Munich Re.

Bought By Many revendique depuis un doublement annuel de son chiffre d’affaires, affichant 220 millions de dollars de cotisations pour l’année 2020, pour plus d’un demi-million d’animaux assurés. La start-up a commencé à se développer à l’international en commençant par la Suède dès 2019 sous la marque ManyPets, avant de se lancer aux États-Unis début 2021.

Des ambitions européennes… peu focusées sur la France

Deuxième détour outre-Rhin ce coup-ci avec l’annonce d’une levée de fonds de série C de 650 millions de dollars (531 millions d’euros) pour WeFox, tour de financement mené par le fonds Target Global : la valorisation du néo-assureur allemand dépasse ainsi les trois milliards de dollars. Son financement total frôle désormais le milliard de dollars (918,5 millions, soit 750 millions d’euros).

Ce néo-assureur, soutenu notamment par Samsung, s’est développé grâce à sa plateforme unique de distribution, vendant à la fois des produits créés par une filiale dédiée de WeFox (700 agents ne distribuent que ses propres produits, dont une vingtaine de nouveaux en préparation) et par des partenaires (la plateforme agglomèrerait plus de 5 000 intermédiaires). L’assurtech a dégagé un chiffre d’affaires de 140 millions de dollars en 2020 et entend être rentable d’ici 2023.

Particularité commune à ces deux entreprises que sont Bought By Many et WeFox : le marché français n’est pas une de leurs principales priorités. Pour la première, le marché de l’assurance des animaux de compagnies’il attire de nouveaux courtiers hexagonaux (ainsi qu’un certain nombre d’autres assurtech françaises comme Lovys ou Otherwise), reste en plein développement. Pour la deuxième, son développement non-européen à venir sera centré sur les États-Unis et l’Asie tandis qu’en Europe, WeFox entend d’abord solidifier ses positions en Allemagne, Autriche, Pologne et Suisse (et bientôt en Italie). La jeune pousse compte toutefois une équipe à Paris, travaillant à un produit de prévention des risques qui deviendrait, à terme, une activité complémentaire pour le groupe WeFox.

Avec ces deux annonces simultanées, les assurtech françaises Alan et Shift Technology, qui s’étaient récemment rapproché du podium des assurtech européennes les mieux financées grâce à des levées d’importance, y sont supplantées par Bought By Many :

  1. WeFox : 918,5 millions de dollars
  2. Bought By Many : 500 millions de dollars
  3. Ki Insurance : 500 millions de dollars
  4. Alan : 380 millions de dollars (310 millions d’euros)
  5. Shift Technology : 320 millions de dollars

source: l’argus de l’assurance

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Le Groupe Diana Holding et sa présidente Rita Zniber se sont vus infliger une sanction financière importante en France. En effet, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a prononcé à l’encontre de la société une sanction pécuniaire de 10 millions d’euros (environ 170 millions de DH) et une autre de 6 millions d’euros (66 millions d’euros) contre Rita Zniber dans l’affaire de délit d’initié sur Marie Brizard Wine & Spirits (MBWS).

 

source: l’Economiste

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L’assureur a été choisi par le gouvernement, aux côtés de 27 autres entreprises françaises, pour participer à l’opération pilote de vaccination contre le virus à grande échelle.

Axa France a reçu mercredi 26 mai dans son centre de médecine du travail installé dans son siège de Nanterre la visite de Laurent Pietraszewski, secrétaire d’État chargé des retraites et de la santé auprès de la ministre du Travail. Le représentant du gouvernement était là pour marquer la seconde phase de la campagne de vaccination dans l’entreprise, comme la veille chez Naval Group à Brest (Finistère), pour la même opération de communication. L’assureur tricolore fait en effet partie, comme le constructeur naval, des 28 entreprises impliquées dans l’opération pilote de vaccination contre le Covid-19, qui vont recevoir au total 30 000 vaccins.

1100 doses pour la deuxième phase

Depuis le 9 mars, Axa France a déjà utilisé 250 doses de vaccin AstraZeneca (réservé en France aux plus de 55 ans). L’assureur s’est vu cette fois allouer 1 100 doses de Moderna (vaccin ARN messager), utilisable notamment pour les salariés plus jeunes. Les secondes injections arriveront dans quelques semaines. Patrick Cohen, le nouveau directeur général d’Axa France, s’était déplacé pour recevoir le secrétaire d’Etat et a dit « sa fierté d’avoir un employeur qui participe à l’effort national ».

Concrètement, l’assureur dispose d’une plateforme de prise de rendez-vous comparable à celle de Doctolib ou Maiia. Les collaborateurs ont été informés dès vendredi 21 mai par mail du dispositif mis en place par la médecine du travail d’Axa. Tous ceux qui sont éligibles et qui le désirent se connectent et choisissent un créneau de vaccination. Les règles d’éligibilité à la la vaccination dans l’entreprise suivent les règles fixées par le gouvernement pour l’ensemble de la population. Les moins de 50 ans qui ne peuvent encore s’inscrire que la veille pour bénéficier des doses restante avaient visiblement massivement usé de cette possibilité ce mercredi 26 mai. L’opération se limite aux collaborateurs du bassin de l’Île-de-France (environ 5 000 salariés chez Axa France) mais s’étend aux sociétés sœurs comme Axa IM.

 

Source : l'argus de l'assurance
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Tiers payant : le papier fait de la résistance La dématérialisation des attestations de tiers payant progresse à grands pas et prend des formes diverses. Pourtant, les assureurs complémentaires ne sont pas prêts à abandonner totalement le papier.

Quand bien même les organismes d’assurance maladie complémentaire ont déjà largement dématérialisé les attestations de tiers payant, ils restent attachés à la carte papier. Comment l’expliquer, alors que toute la profession est engagée dans une chasse aux coûts, sous la pression des pouvoirs publics, qui pressent les complémentaires santé de réduire leurs frais de gestion ? « Nous pratiquons les deux, papier et carte dématérialisée, car nous pensons que le multicanal est le plus pertinent », explique Julien Mouchet, dirigeant et fondateur du néo-assureur Kovers. « Il y a encore des déserts numériques en France, et nous ne voulons pas mettre les gens qui les subissent dans des situations ingérables », ajoute-t-il. Et même hors des zones blanches, l’assuré risque de ne pas disposer de connexion suffisante dans la pharmacie ou chez l’opticien logé dans un centre commercial. Effort de pédagogie Autre raison de maintenir le papier, les usages bien ancrés chez les assurés, dont une part significative n’est pas à l’aise avec les outils numériques ou reste dans une méconnaissance totale du sujet : « On s’aperçoit dans nos enquêtes que 7 à 15% des adhérents ne savent pas ce qu’est le tiers payant, sans compter ceux qui se sentent perdus face à tout ce qui est administratif », remarque Stéphane Poulard, directeur des opérations client de La Mutuelle générale. Les organismes complémentaires ont donc encore un petit effort de pédagogie à accomplir ! Mais la troisième mutuelle santé française s’apprête à changer son fusil d’épaule : « Nous sommes encore dans une logique où nous offrons toutes les possibilités à tout le monde, mais nous nous orientons vers une différenciation des offres : du digital pour ceux qui le souhaitent, du papier pour les autres », précise Stéphane Poulard. « La carte ne devrait pas devenir obsolète. Elle a plusieurs usages. Son envoi sert à des opérations commerciales, elle valorise aussi l’image de l’assureur. Et c’est une image tangible du contrat d’assurance », confirme Véronique Lacam-Denoël, fondatrice du cabinet Proxicare.

source: l’argus de l’assurance

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Dans le cadre d’amélioration de la lisibilité des contrats d’assurance complémentaire santé, qui a récemment fait l’objet d’une communication sceptique de la part du ministère de l’Économie, avance malgré tout. Preuve en est avec un nouvel accord conclu auprès des organismes complémentaire. La lisibilité des contrats d’assurance complémentaire santé est un chantier majeur où les conflits sont récurrents entre parties prenantes.

Compte tenu de cet aspect, le ministère de l’Économie avait ainsi missionné le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) sur ce sujet dès 2011. Depuis lors, un accord de place a été conclu en 2019 pour parvenir à une certaine harmonisation et simplification desdits contrats. C’est ainsi, que le CCSF a officialisé le 20 mai un avis prenant acte des progrès réalisés, matérialisés sous la forme d’un accord portant sur trois dimensions comportant 26 exemples concrets d’actes/soins exprimés en euros, explicitant la part de chaque financeur dans la prise en charge. Les organismes complémentaires se sont engagés à le mettre en place pour l’ensemble des contrats santé standards afin d’en faciliter la comparaison, d’ici mai 2022.

Source : l’argus de l’assurance

Aïchata Koné

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L’économie française devrait afficher une croissance de 5 % en 2021, selon les prévisions du gouvernement. Mais la vigueur de ce rebond reste soumis à plusieurs hypothèses

 

Incontestablement, « il y a de l’envie », comme le souligne Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas. De l’envie de prendre son café en terrasse, de retourner au cinéma ou au musée, de faire du shopping ou de partir en week-end à l’autre bout de la France, voire dans un autre pays. « L’économie française va se redresser », a déclaré, mardi 18 mai, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, en visite chez un restaurateur parisien, assurant que la France retrouvera le niveau d’activité d’avant-crise au premier semestre, voire le premier trimestre 202. Pour Bercy, l’économie française, qui a enregistré une croissance de 0,4 % au premier trimestre de cette année, est en mesure d’atteindre l’objectif de croissance de 5 % fixé pour 2021.

 

Source : le monde

Aïchata Koné

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Pour la première fois, le groupe Total présentera, lors de son assemblée générale du 28 mai prochain, une résolution sur sa stratégie en matière de transition énergétique. A travers ce mécanisme dit de « say on climate », ses actionnaires seront invités à donner leur avis – consultatif à ce stade – sur la politique climatique du géant pétrolier.

Déjà, plusieurs investisseurs ont déjà annoncé qu’ils ne soutiendraient pas la résolution : même s’ils saluent les progrès de Total sur le sujet ces derniers mois, ils s’abstiendront à l’image des Assurances du Crédit Mutuel et du Crédit Mutuel Asset Management voire voteront contre comme OFI Asset Management, société de gestion détenue par Macif (60,9%), Matmut (25,8%), et Ofivalmo Partenaires (Aésio, Macif, Mutualité française, Mutex…).

 

source: l’argus de l’assurance

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Lovys propose depuis 2017 une offre d’assurance tout-en-un au sein d’une application unique, jusqu’à présent dotée de quatre produits d’assurance (automobile, habitation, smartphone et animaux de compagnie).

La start-up poursuit sa stratégie de développement en B2B2C avec l’annonce d’un nouveau partenariat, auquel est associée La Banque Postale.

Lovys, assurtech spécialisée en dommages (habitation, auto, mobile, animaux), poursuit son développement en cette année 2021, dans la foulée de sa levée de fonds de 17 millions d’euros conclue au début de cette année.

Si son développement est en partie basé sur un positionnement B2C plutôt rare (et parfois contesté par des acteurs plus traditionnels), il s’appuie aussi sur du B2B2C. Nouvelle illustration avec le partenariat que l’assurtech vient d’annoncer avec La Banque Postale.

Source l’argus de l’assurance

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