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A quelques jours de la troisième étape du déconfinement établi par le gouvernement, le ministère du Travail vient de publier le nouveau protocole à respecter en entreprise. Un document dans lequel des sujets tels que le télétravail, la distanciation physique entre les salariés ou encore la jauge dans les restaurants d’entreprise sont abordés.

C’est un document que beaucoup d’entreprises attendaient avec impatience. Dans le cadre du plan de déconfinement, le ministère du Travail a publié le 2 juin le nouveau protocole sanitaire en entreprise à appliquer dès le 9 juin. A cette date, comme indiqué par le chef de l’Etat Emmanuel Macron lors de son entretien à la presse régionale le 30 avril dernier, les règles liées au télétravail seront assouplies. Fini le 100% travail à distance, ainsi que la règle d’un jour sur site autorisé pour les salariés qui le souhaitent. Le nouveau protocole prévoit désormais de donner « carte blanche » à chaque entreprise pour établir la nouvelle jauge de jours de présence autorisés. « Les employeurs fixent dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, pour les activités qui le permettent ».

 

Source: l’argus de l’assurance

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Deux néo-assureurs ont annoncé en ce premier jour de juin d’importantes levées de fonds, faisant passer leur valorisation au-delà des deux milliards de dollars.

Jour faste pour l’écosystème assurtech en ce premier juin, puisque ce ne sont pas une mais bien deux importantes annonces qui ont été officialisées.

Premier détour outre-Manche avec l’annonce d’un tour de financement de série D de 350 millions de dollars (286 millions d’euros) pour Bought By Many, portant son financement total à 500 millions de dollars (409 millions d’euros) : sa valorisation dépasse ainsi les deux milliards de dollars.

L’assurance des animaux de compagnie, une niche porteuse

Cette levée a été menée par le fonds EQT Growth, en lien avec Octopus Ventures et Munich Re Ventures. Elle fait son entrée sur le podium des assurtech européennes les mieux financées, aux côtés du britannique Ki Insurance (soutenu par le Lloyd’s) et de l’allemand WeFox.

Bought By Many est un spécialiste de l’assurance des animaux de compagnie, marché bien plus dynamique outre-Manche qu’en France (25% d’équipement au Royaume-Uni, contre environ 7% dans l’Hexagone) et que la jeune pousse a bouleversé depuis son lancement en 2017 (cinq ans après sa création), soutenue alors par la compagnie Great Lakes Insurance… composante de Munich Re.

Bought By Many revendique depuis un doublement annuel de son chiffre d’affaires, affichant 220 millions de dollars de cotisations pour l’année 2020, pour plus d’un demi-million d’animaux assurés. La start-up a commencé à se développer à l’international en commençant par la Suède dès 2019 sous la marque ManyPets, avant de se lancer aux États-Unis début 2021.

Des ambitions européennes… peu focusées sur la France

Deuxième détour outre-Rhin ce coup-ci avec l’annonce d’une levée de fonds de série C de 650 millions de dollars (531 millions d’euros) pour WeFox, tour de financement mené par le fonds Target Global : la valorisation du néo-assureur allemand dépasse ainsi les trois milliards de dollars. Son financement total frôle désormais le milliard de dollars (918,5 millions, soit 750 millions d’euros).

Ce néo-assureur, soutenu notamment par Samsung, s’est développé grâce à sa plateforme unique de distribution, vendant à la fois des produits créés par une filiale dédiée de WeFox (700 agents ne distribuent que ses propres produits, dont une vingtaine de nouveaux en préparation) et par des partenaires (la plateforme agglomèrerait plus de 5 000 intermédiaires). L’assurtech a dégagé un chiffre d’affaires de 140 millions de dollars en 2020 et entend être rentable d’ici 2023.

Particularité commune à ces deux entreprises que sont Bought By Many et WeFox : le marché français n’est pas une de leurs principales priorités. Pour la première, le marché de l’assurance des animaux de compagnies’il attire de nouveaux courtiers hexagonaux (ainsi qu’un certain nombre d’autres assurtech françaises comme Lovys ou Otherwise), reste en plein développement. Pour la deuxième, son développement non-européen à venir sera centré sur les États-Unis et l’Asie tandis qu’en Europe, WeFox entend d’abord solidifier ses positions en Allemagne, Autriche, Pologne et Suisse (et bientôt en Italie). La jeune pousse compte toutefois une équipe à Paris, travaillant à un produit de prévention des risques qui deviendrait, à terme, une activité complémentaire pour le groupe WeFox.

Avec ces deux annonces simultanées, les assurtech françaises Alan et Shift Technology, qui s’étaient récemment rapproché du podium des assurtech européennes les mieux financées grâce à des levées d’importance, y sont supplantées par Bought By Many :

  1. WeFox : 918,5 millions de dollars
  2. Bought By Many : 500 millions de dollars
  3. Ki Insurance : 500 millions de dollars
  4. Alan : 380 millions de dollars (310 millions d’euros)
  5. Shift Technology : 320 millions de dollars

source: l’argus de l’assurance

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L’assureur a été choisi par le gouvernement, aux côtés de 27 autres entreprises françaises, pour participer à l’opération pilote de vaccination contre le virus à grande échelle.

Axa France a reçu mercredi 26 mai dans son centre de médecine du travail installé dans son siège de Nanterre la visite de Laurent Pietraszewski, secrétaire d’État chargé des retraites et de la santé auprès de la ministre du Travail. Le représentant du gouvernement était là pour marquer la seconde phase de la campagne de vaccination dans l’entreprise, comme la veille chez Naval Group à Brest (Finistère), pour la même opération de communication. L’assureur tricolore fait en effet partie, comme le constructeur naval, des 28 entreprises impliquées dans l’opération pilote de vaccination contre le Covid-19, qui vont recevoir au total 30 000 vaccins.

1100 doses pour la deuxième phase

Depuis le 9 mars, Axa France a déjà utilisé 250 doses de vaccin AstraZeneca (réservé en France aux plus de 55 ans). L’assureur s’est vu cette fois allouer 1 100 doses de Moderna (vaccin ARN messager), utilisable notamment pour les salariés plus jeunes. Les secondes injections arriveront dans quelques semaines. Patrick Cohen, le nouveau directeur général d’Axa France, s’était déplacé pour recevoir le secrétaire d’Etat et a dit « sa fierté d’avoir un employeur qui participe à l’effort national ».

Concrètement, l’assureur dispose d’une plateforme de prise de rendez-vous comparable à celle de Doctolib ou Maiia. Les collaborateurs ont été informés dès vendredi 21 mai par mail du dispositif mis en place par la médecine du travail d’Axa. Tous ceux qui sont éligibles et qui le désirent se connectent et choisissent un créneau de vaccination. Les règles d’éligibilité à la la vaccination dans l’entreprise suivent les règles fixées par le gouvernement pour l’ensemble de la population. Les moins de 50 ans qui ne peuvent encore s’inscrire que la veille pour bénéficier des doses restante avaient visiblement massivement usé de cette possibilité ce mercredi 26 mai. L’opération se limite aux collaborateurs du bassin de l’Île-de-France (environ 5 000 salariés chez Axa France) mais s’étend aux sociétés sœurs comme Axa IM.

 

Source : l'argus de l'assurance
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Tiers payant : le papier fait de la résistance La dématérialisation des attestations de tiers payant progresse à grands pas et prend des formes diverses. Pourtant, les assureurs complémentaires ne sont pas prêts à abandonner totalement le papier.

Quand bien même les organismes d’assurance maladie complémentaire ont déjà largement dématérialisé les attestations de tiers payant, ils restent attachés à la carte papier. Comment l’expliquer, alors que toute la profession est engagée dans une chasse aux coûts, sous la pression des pouvoirs publics, qui pressent les complémentaires santé de réduire leurs frais de gestion ? « Nous pratiquons les deux, papier et carte dématérialisée, car nous pensons que le multicanal est le plus pertinent », explique Julien Mouchet, dirigeant et fondateur du néo-assureur Kovers. « Il y a encore des déserts numériques en France, et nous ne voulons pas mettre les gens qui les subissent dans des situations ingérables », ajoute-t-il. Et même hors des zones blanches, l’assuré risque de ne pas disposer de connexion suffisante dans la pharmacie ou chez l’opticien logé dans un centre commercial. Effort de pédagogie Autre raison de maintenir le papier, les usages bien ancrés chez les assurés, dont une part significative n’est pas à l’aise avec les outils numériques ou reste dans une méconnaissance totale du sujet : « On s’aperçoit dans nos enquêtes que 7 à 15% des adhérents ne savent pas ce qu’est le tiers payant, sans compter ceux qui se sentent perdus face à tout ce qui est administratif », remarque Stéphane Poulard, directeur des opérations client de La Mutuelle générale. Les organismes complémentaires ont donc encore un petit effort de pédagogie à accomplir ! Mais la troisième mutuelle santé française s’apprête à changer son fusil d’épaule : « Nous sommes encore dans une logique où nous offrons toutes les possibilités à tout le monde, mais nous nous orientons vers une différenciation des offres : du digital pour ceux qui le souhaitent, du papier pour les autres », précise Stéphane Poulard. « La carte ne devrait pas devenir obsolète. Elle a plusieurs usages. Son envoi sert à des opérations commerciales, elle valorise aussi l’image de l’assureur. Et c’est une image tangible du contrat d’assurance », confirme Véronique Lacam-Denoël, fondatrice du cabinet Proxicare.

source: l’argus de l’assurance

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L’économie française devrait afficher une croissance de 5 % en 2021, selon les prévisions du gouvernement. Mais la vigueur de ce rebond reste soumis à plusieurs hypothèses

 

Incontestablement, « il y a de l’envie », comme le souligne Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas. De l’envie de prendre son café en terrasse, de retourner au cinéma ou au musée, de faire du shopping ou de partir en week-end à l’autre bout de la France, voire dans un autre pays. « L’économie française va se redresser », a déclaré, mardi 18 mai, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, en visite chez un restaurateur parisien, assurant que la France retrouvera le niveau d’activité d’avant-crise au premier semestre, voire le premier trimestre 202. Pour Bercy, l’économie française, qui a enregistré une croissance de 0,4 % au premier trimestre de cette année, est en mesure d’atteindre l’objectif de croissance de 5 % fixé pour 2021.

 

Source : le monde

Aïchata Koné

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Les métiers de l’assurance sont, par définition, basés sur les statistiques et les probabilités, qui peuvent toutes deux être glanées à partir de données. Auparavant, la collecte de ces dernières et le calcul des probabilités étaient une tâche manuelle laborieuse. Mais aujourd’hui, la technologie change radicalement les choses…

La prolifération des objets connectés permet la collecte de gros volumes de données, que l’intelligence artificielle est ensuite capable d’analyser rapidement pour en déduire des probabilités. Or, les primes facturées par les compagnies d’assurance sont justement basées sur la probabilité que des événements se produisent.

Depuis plusieurs années, les assurtech révolutionnent l’industrie grâce à leur capacité à répondre, avec précision et rapidité, à ces changements de scénarios. En France, l’association France Fintech évalue à 828,2 millions d’euros les fonds levés par les startups de la finance et de l’assurance, soit une progression de 18,5% par rapport a 2019. Et les levées de 185 millions d’euros d’Alan et de 200 millions de dollars de Shift Technology récemment annoncées viennent confirmer la dynamique de transformation numérique de l’industrie en 2021.

L’assurance à l’usage et l’assurance paramétrique

L’assurance à l’usage

bénéficie déjà de l’Internet des Objets (IoT) et permet aux assurtech de proposer des polices d’assurance plus ciblées et individualisées en fonction du comportement des clients et de l’utilisation de l’objet assuré.

L’assurance paramétrique

est définie par le Center for Insurance Policy and Research comme « une forme de contrat qui assure le client contre l’apparition d’un événement spécifique en versant un montant fixe basé sur l’ampleur de l’incident, par opposition à l’ampleur des pertes dans une police d’indemnisation traditionnelle ». En d’autres termes, une politique d’assurance paramétrique assure contre un événement plutôt que contre la perte ou le dommage des actifs.

source: l’argus de l’assurance

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Des données auraient été interceptées dans une division d’AXA Partners en Thaïlande, a révélé la société ce dimanche. L’attaque, de type rançongiciel, a impacté les opérations informatiques dans plusieurs pays d’Asie

La société AXA Partners, filiale du géant français de l’assurance, a annoncé ce dimanche avoir été la victime d’une cyberattaque en Asie. L’incident a notamment affecté les opérations informatiques de la société Asia Assistance en Thaïlande, aux Philippines, en Malaisie et à Hong Kong.

Les cybercriminels ont utilisé la technique du rançongiciel (ransomware), à l’instar de la spectaculaire attaque menée par le groupe de pirates Darkside sur l’oléoduc Colonial aux Etats-Unis.

Mais à ce jour, seules « certaines données opérées par Inter Partners Asia en Thaïlande ont été interceptées », a indiqué la société dans un communiqué. « Il n’y a aucune preuve pour l’instant que d’autres données aient pu l’être ».

 

Source: Les Echos

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Les résultats du premier trimestre 2021 de CNP Assurances remontent, mais la collecte nette reste négative.

CNP Assurances relève un peu la tête au premier trimestre. Après avoir publié un chiffre d’affaires annuel 2020 en baisse de 17%, celui des trois premiers mois de l’année est en progression de 14,6% par rapport au premier trimestre de l’année précédente, à 7,9 Md€. Le résultat net part du groupe s’élève à 308 M€, en croissance de 2,9% sur un an. Quant au taux de couverture du SCR, il regagne 9 points par rapport à la fin de l’année, à 217%.

En France, le produit net d’assurance progresse de 9,1% sur un an, sachant que le premier trimestre 2020 avait compté deux semaines d’arrêt de l’activité lié au premier confinement.

Décollecte de 1,1 Md€ sur le trimestre

Le chiffre d’affaires en unités de compte (UC) dans l’Hexagone augmente de 54,3% sur un an, pour un taux d’UC dans la collecte de 25,4%, ce qui n’est pas mieux que la moyenne de l’année 2020. Le chiffre d’affaires en UC de La Banque Postale est en hausse de 44,1%. La croissance sur les UC est surtout le fait de CNP Patrimoine (+112%), qui a doublé son poids dans le chiffre d’affaires France de la compagnie par rapport à il y a un an. En épargne, la croissance du chiffre d’affaires a été plus rapide dans le réseau BPCE (+35,5%) que dans le réseau Banque Postale (+10,7%).

Sur l’ensemble de l’activité épargne retraite, en France, la collecte nette est légèrement positive en UC à hauteur de 0,5 Md€, tandis que la décollecte se poursuit en euros (-1,6 Md€).

Community Manager

Source: l’argus de l’assurance 

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Un nouvel assureur débarque en France !

Ce sera le tout premier néo-assureur généraliste du marché français : alors qu’Alan est spécialiste de l’assurance santé et Seyna opère sur le marché de l’assurance dommagesAcheel vient d’obtenir son agrément « pour pratiquer en France les opérations correspondant aux branches 1 (accidents), 2 (maladie), 8 (incendies et éléments naturels), 9 (autres dommages aux biens) et 13 (responsabilité civile générale) », selon la décision publiée Journal officiel du 13 mai. En d’autres termes, Acheel opèrera notamment en santé individuelle, en habitation (MRH) et en assurance chiens-chats.

Selon les informations, l’assurtech, dirigée par Francky Défossé et Ralph Ruimy, a obtenu son agrément de l’ACPR dès le 21 avril dernier. Elle a bénéficié d’une première levée de fonds de 29 M€, avec la particularité de compter Xaviel Niel (via sa holding NNJ) dans le tour de table.

Il y a des opportunités pour tous!!!

Community manager

source: l’argus de l’assurance

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Une reprise de la demande beaucoup plus forte que prévue accompagne les avancées de la vaccination contre le Covid-19. Les prix vont augmenter, mais devraient retomber progressivement l’année prochaine.

Ceux qui sont en première ligne du commerce mondial n’ont pas de doute : à travers la planète, les prix sont en train de flamber.
« N’écoutez pas ce que tout le monde dit, les prix vont augmenter, c’est inévitable », estime Peter Wilson, le directeur général de Cory Brothers, une entreprise britannique qui facilite les importations et exportations. Le plus évident est le prix du transport d’un conteneur. « Il y a un an, entre la Chine et l’Europe, ça coûtait 1 800 dollar [environ 1 500 euros. Aujourd’hui, ça tourne autour de 10 000 dollars », explique M. Wilson.

L’hyperinflation du transport des marchandises se couple à la forte hausse des matières premières. Le cours du cuivre a dépassé le seuil des 10 200 dollars la tonne en Mai. Le prix du baril de pétrole a doublé en un an, désormais autour de 65 dollars. Le fer a atteint son plus haut historique. Le bois, l’aluminium, le soja… Tout flambe.

Matières premières

En cause, le redémarrage beaucoup plus fort que prévu de la demande, maintenant que les pays s’ouvrent les uns après les autres grâce aux programmes de vaccination qui progressent. En face, l’offre est encore profondément désorganisée par la pandémie de Covid-19 : usines qui tournent parfois au ralenti à cause de la distanciation physique, trafic maritime presque arrêté en Inde à cause de la flambée de cas de Covid-19, difficulté à anticiper les commandes, qui arrivent par à-coups…

Hausses partagées

Cette inflation du commerce et des matières premières commence à se traduire par une vraie poussée d’inflation. Aux États-Unis, les prix à la consommation ont progressé de 4,2 % sur un an, en avril. C’est son plus haut niveau depuis 2008. En zone euro, où l’économie n’est qu’au début d’une réouverture post-pandémie, l’effet demeure plus limité, avec une inflation de 1,3 % sur un an en mars.Le changement est pourtant frappant.
En octobre 2020, les économistes s’inquiétaient du risque de spirale déflationniste en zone euro, l’indice des prix étant alors à − 0,3 %. Aujourd’hui, plus personne n’évoque un tel scénario. Certains pays sont plus touchés : l’Allemagne, l’Autriche et le Luxembourg sont désormais au-dessus de 2 %. La France est à 1,4 %.

Source: l’économiste

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